Kasperl est écuyer du chevalier Kuno. Lors d'une chasse dans les bois, il rencontre un ermite qui lui offre à boire et à manger. De bonne humeur, Kasperl lui donne une gifle. La situation dégénère et il finit par embrocher l'ermite sur sa hallebarde. Kuno survient, ignorant de ces entrefaites. Le magicien Murischuripixtimixtistopheles entreprend de les capturer tous deux pour les faire cuire dans sa cuisine de sorcier. Il se transforme en monstre et veut manger Kasperl : celui-ci lui donne en pâture le cadavre de l'ermite, mais cela ne suffit pas à le rassasier. Kasperl lui donne alors des coups de hallebarde jusqu'à ce qu'il s'effondre, mort. Le chevalier Kuno arrive enfin, mais le magicien réapparaît tout à coup : le monstre n'était qu'une illusion. Kuno s'enfuit à toutes jambes. Kasperl n'a pas le temps de le suivre. Le magicien le prend à son service et lui donne un chaudron à surveiller, en le menaçant de le faire cuire dans le chaudron s'il fait mal son travail. Mais au lieu de cela, Kasperl le pousse dans le chaudron, qui explose : Kasperl s'envole jusqu'à la lune et revient sur terre après avoir visité toutes les tavernes qui s'y trouvent...

Marionnette à fils

Jeune public

Pocci Franz von

Allemagne

Munich

Imprimé

Moyen-âge

Chevalerie

Troubadour

Écuyer

Dragon

Bois

Forêt

Gloutonnerie

Magie

Sorcellerie

Sorcier

Lune

Héroïsme

Assassinat

Animal fantastique

Taverne

Farcesque

Parodique

Illustration de Franz Pocci pour Kasperls Heldentaten

Allemand

Ein Ritterstück aus dem finstern Mittelalter

Ermite

Kasperl

Chevalier

Der Zauberer Murischuripixtimixtistopheles

Magicien

Diable

Scène chantée

Adresse au public

Monologue

Passages versifiés

Métathéâtre

Calembour

Mot pour un autre

Parodie du langage soutenu

Coup de bâton

Meurtre en scène

Apparition du Diable

Pyrotechnie

Métamorphose

Numéro de magie

Stichomythies

Macaronisme

Kasperls Heldentaten

Les faits héroïques de Kasperl

Les mauvaises fées Wiltrud et Scohlint condamnent la princesse Röslein (ou Dornröslein, « Fleur-d'Epine ») à s'endormir avec toute la cour du roi Purpur et de la reine Hermelin en se piquant le doigt sur une quenouille à ses quinze ans. La fée Sconea allège la sentence en promettant que la malédiction se changera en bénédiction. Des années plus tard, le chevalier Minnamunt retrouve le château ensorcelé, défait en duel le géant Schlafdorn (« Epine-de-Sommeil ») qui en garde les portes et réveille la princesse et sa cour.

Romantisme

Poésie

Philosophie

Enfance

Adulte

Nature

Mécanisation

Sommeil

Merveilleux

Humoristique

Illustration de Franz von Pocci pour l'édition originale de la pièce

Reine

Prince

Poète

Valet

Fée

Vieille femme

Héraut

Géant

Chanson

Apparition

Dialogue de sourds

Animal parlant

Combat

Décor à transformation

Actualité

Dornröslein

La Belle au Bois dormant

Polichinelle vole le pique-nique d’un sorcier et le bastonne. Pour se venger, celui-ci fait apparaître une grande Main rouge. Polichinelle lutte contre cette Main qui le malmène et le frappe pour le corriger. Il ruse pour lui échapper et se réfugie dans la maison d’une vieille femme qui se retrouve à la porte de chez elle. Pour le faire sortir, la Main le piège avec un pâté odorant. Polichinelle tombe dans le piège et se bat avec la Main. Feignant le repentir, il demande au sorcier de le délivrer de la Main. Quand c'est fait, il le tue et tente de contrôler la Main. Mais celle-ci réapparait avec une fourche et finit par l’emporter à la manière du Diable.

Marionnette à gaine

Main nue

Tous publics

France

Paris

Main

Faim

Soif

Jambon

Vol (délit)

Pâté

Fourche

Ruse

Gourmandise

Faux repentir

Comique

Fantastique

Frontispice de La Grand'Main. Dessin : Duranty. Gravure : V. Cousin.

Français

Polichinelle

Partie du corps humain

Aparté

Course-poursuite

Retournement de situation

Gifle

Coup de poing

Voix hors-scène

Intervention finale du diable

Visibilité de la main

La Grand'Main

Espérant trouver de l’or, Pierrot et Polichinelle s’introduisent chez le sorcier, mais sont surpris par une poule noire qui les attaque. Polichinelle s’enfuit avec la poule, mais Pierrot, piégé, se cache dans un chaudron. Le sorcier, affolé, appelle ses collègues à l’aide et tous tentent de conjurer la perte de la poule à l’aide d’une potion préparée dans le chaudron. Pierrot s’agite dans le chaudron — ce qui fait fuir les sorciers — puis se découvre. Pour le punir, le sorcier l’affuble d’une tête d’âne. De son côté, Polichinelle, affamé, tue la poule, ce qui fait disparaître la poule et apparaître le Diable. Pour punir Polichinelle, le Diable l’affuble d’une tête d’âne rouge. Polichinelle et Pierrot reviennent menacer le sorcier pour qu’il leur rende leur apparence, mais celui-ci dit avoir perdu ses pouvoirs en perdant sa poule. Pierrot fouille parmi les potions du sorcier et trouve une crème qui lui rend sa tête. Mais le sorcier s’enfuit avec le produit, poursuivi par Pierrot. Arrive un cocher qui, trouvant Polichinelle magnifique, le fouette et veut l’atteler à sa carriole. Polichinelle se défend à coups de bâton et le cocher s’enfuit. Prêt à tout pour retrouver sa tête, Polichinelle teste une autre pommade du sorcier, mais il se retrouve alors avec une tête de cochon. Apercevant Polichinelle, un charcutier accourt et s’émerveille de ce cochon qui parle ; mais, le prenant pour un fou, Polichinelle le chasse à coups de bâton. Pierrot revient avec le remède et Polichinelle récupère sa véritable tête. En sortant avec Pierrot, Polichinelle croise le sorcier et le tue d’un coup de bâton.

Poule

Naïveté

Chaudron

Tête d'âne

Tête de cochon

Pierrot

Cocher

Charcutier

Personnage caché

Danse

Comique de répétition

Coup de fouet

Mort en scène

Rebondissement

Disparition

Onomatopée associée à un personnage

La Poule noire

C'est le jour de la Saint-Jean. Le dieu Pan annonce l'aube et invoque l'esprit des fleurs. Tous les personnages qui apparaissent semblent animés par un irrépressible désir d'aimer : un séminariste et la fille d'un prêtre s'embrassent en cachette, un oiseau chante pour sa bien-aimée, deux jeunes paysans s'enlacent sur une charrette, deux enfants parlent d'étoiles et de bébé, une religieuse loue son créateur, deux chats se livrent une joute fougueuse, une jeune fille en manque d'amour s'assoupit... À son réveil, une autre fille plus âgée lui propose d'aller chez une sorcière ayant le pouvoir de leur faire voir l'homme qu'elles aimeront. Malgré la peur et l’obscurité, elles vont chez la sorcière dont les incantations font apparaître au loin leur futur époux. L'un ressemble étrangement au pêcheur croisé au début de la pièce, l'autre au prince aperçu précédemment sous la forme d'un poisson. Encore frissonnantes et comme ensorcelées, les deux jeunes filles repartent et Pan clôt la pièce d'un air de flûte.

Théâtre d'ombre

Non spécifié

Bernus Alexander von

Fête de la Saint-Jean

Amour

Croyances païennes

Nuit

Fleurs

Désir

Lyrique

Greta von Hoerner, Esprit d’une fleur, Pan, 1907.

Romantisches Schattenspiel

Nymphe

Esprit

Fleur

Sorcière

Séminariste

Oiseau

Mouton

Berger

Pêcheur

Poisson

Chasseur

Renard

Charretier

Garçon

Prostituée

Enfant

Fillette

Musicien

Religieuse

Chat

Feu follet

Taupe

Air instrumental

Enlevée et séquestrée par le sorcier Khalakuck, la princesse Dana du Gurkistan doit lui préparer ses huit plats de nouilles par jour et lui nettoyer le nez tous les matins – mais au bout d’un an, le magicien lui laisse le choix, soit de l’épouser, soit d’être mangée ! C’est alors qu’elle découvre que le cheval à bascule qui était dans sa chambre n’est autre que le prince Schaukelpferd de Spielzeugland transformé en jouet. Avec l’aide de la mésange magique Tziptzap, ils parviennent à s’évader de leur prison sur le dos de Schaukelpferd, à qui il a poussé des ailes pendant la nuit. Mais ils sont rattrapés par Khalakuck : le prince sait qu’il n’a plus droit qu’à trois métamorphoses et demi pour remporter la bataille finale contre le sorcier. Le conte se termine par une triple noce : le prince et la princesse, la maraîchère et le policier, Kasperl et Grete. Les derniers étaient certes déjà mariés, mais le mariage, selon Kasperl, est une chose qu’on ne peut jamais faire trop souvent.

Fühmann Franz

Berlin

Féerie

Conte

Pays merveilleux

Socialisme

Liberté

Prison

Émancipation

Animal

Sexualité

Société

Mésange

Cornichon

Jeu d'enfants

Cheval

Cheval ailé

Interdit

Pénurie

Économie

Majorité

Château

Marché

Civisme

Pédagogie

Satirique

Soleil

Die Spucke in der Bütte auf der Schwelle

Policier

Frau Kasperl

Objet prenant vie

Scène de reconnaissance

Équivoque grivoise

Allégorie politique

Das Spiel von der glücklichen Flucht des Prinzen Schaukelpferd vom Spielzeugland mit der Prinzessin Dana von Gurkistan aus der Burg des bösen Zauberers Khalakuck

L'heureuse fuite du prince Cheval à Bascule du Pays des Jouets avec la princesse Dana du Cornichonistan hors du château du méchant magicien Khalakuk