Il ravvedimento d'un'avara
Page de couverture avec le dessin de deux marionnettes à fils.

Imprimé

Il ravvedimento d'un'avara

| 1897
Genre
Farsa in un atto
Personnages
Rosaura, Lisetta, Arlecchino, Marcolfa
Note

Il ravvedimento d'un'avara (Le regret d'une avare) a été publié sans nom d'auteur dans la collection "Teatro dei burattini" des éditions Serafino Majocchi, sous le numéro 33. L'exemplaire ici décrit appartient au Fonds Nino Pozzo conservé à Vérone, mais ne contient pas d'annotations manuscrites de la part du marionnettiste qui ne l'a pas inclus dans son répertoire.

Résumé

Une femme est guérie de son avarice par un faux cambriolage

Lisetta, servante de Rosaura, se lamente de l'avarice de sa maîtresse. Elle raconte à Arlecchino comment celle-ci l'a traitée d'ambitieuse ce qui l'a décidée à lui donner une bonne leçon. Arlecchino accepte de l'aider en échange d'un saucisson.

À la scène suivante, Rosaura montre son avarice: elle se plaint de Marcolfa qui lui réclame les 20 denari qu'elle lui doit et refuse de les lui donner. Lisetta lui demande de l'argent pour les dépenses de la semaine mais, sous différents prétextes, ne les obtient pas. Restée seule, Lisetta se lamente et, pour se venger, a besoin de la clé du salon que sa maîtresse porte toujours autour du cou pendant la journée et qu'elle cache sous son oreiller pendant la nuit.

Dans un autre monologue, Rosaura montre encore son attachement à l'argent et se plaint de Lisetta, mais déclare qu'elle ne veut pas la chasser car elle est bonne et ne pourrait pas manigancer quelque chose derrière son dos. Lisetta entre sur la pointe des pieds mais heurte une chaise. Rosaura croit qu'il s'agit de voleurs et prend peur. Lisetta lui dit qu'il s'agit d'un chat, non de voleurs, puis l'aide à se coucher pour lui voler la clé.

Muni de cette clé, Arlecchino se cache dans un coffre pour effrayer Rosaura. Marcolfa voit le coffre ouvert et s'en approche pour y prendre de l'argent. Rosaura entre dans le salon, voit quelqu'un s'enfuir du coffre et Marcolfa près de celui-ci. Arlecchino dans sa fuite heurte Marcolfa. Rosaura crie aux voleurs et accuse Marcolfa d'être complice de celui qui s'est enfui. Lisetta donne sa bourse à Rosaura avec tout son argent, elle explique ce qui s'est passé et Rosaura, qui pensait chasser Marcolfa, comprend que son avarice l'a fait détester par ses serviteurs. Elle annonce un bon repas.

Date de composition
1897

Publications et traductions

Publication

Il ravvedimento d'un'avara. Milano: Serafino Majocchi Editore, 1897

Lieu de conservation

Fondo Nino Pozzo - Vérone, Italie
Langue
Italien
Tonalités littéraires
Comique, Farcesque
Public
Non spécifié
Licence
Domaine public

Mots-clés

Techniques théâtrales

Permalien

Contributeur

Francesca Cecconi