Polichinelle découvre que les théâtres ont été rasés. Il a passé commande à un menuisier pour qu'il lui fabrique de nouvelles marionnettes, mais n'a pas de pièce à représenter. L'auteur Flonflon demande à être payé d'avance et Polichinelle le bat. Puis quatre spectateurs viennent voir Polichinelle. Le Compère lui conseille de présenter un impromptu. Polichinelle annonce qu'il pense à deux arguments: le déménagement de la Comédie-Italienne et le mariage de la fée Carabosse avec Polichinelle. La pièce s'achève par une danse et un vaudeville.

Marionnette à tringle et à fils

Non spécifié

Carolet Denis

France

Paris

Imprimé

Vie des théâtres

Auteur dramatique

Spectateur

Déménagement

Foire

Comique

Satirique

Français

Polichinelle

Compère

Auteur

Nourrice

Mitron

Servante

Métadiscours sur le théâtre de marionnettes

Danse

Chanson finale

Coup de bâton

Équivoque grivoise

L'Impromptu de Polichinelle

Joseph demande en mariage sa voisine Marie. Cependant, celle-ci refuse sa demande. Elle a fait vœu de rester vierge toute sa vie. Marie implore alors Dieu de lui venir en aide, car Joseph ne renoncera pas à son amour. C'est alors que l’ange Gabriel lui apparaît et lui annonce qu’elle est bénie : elle portera un enfant, Jésus, le fils du Très-Haut. L’ange Gabriel se manifeste également à Joseph et l’encourage à renouveler sa demande en mariage. Plus tard, en apprenant la grossesse de Marie, Joseph soupçonne une trahison. Mais l’ange Gabriel dissipe ses doutes et lui révèle la vérité.
Pendant ce temps, l’empereur exige que chaque habitant s'inscrive dans le registre de sa ville natale. Marie doit alors se mettre en route, et Joseph la suit. En chemin, elle commence à ressentir des douleurs de l’accouchement. Joseph frappe alors à la fenêtre de Tchantchès pour demander de l’aide. En même temps, les mages suivent une étoile qui les conduit jusqu’à la demeure de Tchantchès. C’est là que Marie donne naissance à Jésus, dans une étable. Les mages arrivent à leur tour et offrent leurs présents avant de s’agenouiller devant le "petit sauveur". 
Mais l’ange Gabriel apparaît de nouveau : il avertit Marie que le roi Hérode veut faire tuer l’enfant et qu’elle doit fuir avec Jésus et Joseph. Fou de rage et incapable de retrouver l’enfant, le roi ordonne le massacre de tous les garçons de moins de deux ans.

Marionnette à tringle unique

Tous publics

Mariage

Refus

Croyance

Ange

Grossesse

Étoile

Naissance

Vierge mère d'un enfant

Poursuite

Miracle

Massacre

Religieux

J. Crepin, illlustration pour la pièce La Grande Tragédie de la Nativité ou La Naissance, 1929.

Amoureux

Vierge Marie

Époux

Roi Mage

Capitaine

Soldat

Tchantchès

Grand-père

Cousine

Femme du peuple

Enfant

Jésus

Boeuf

Âne

Mouton

Prologue

Pièce en vers

Apparition d'un ange

Voix hors-scène

Scène chantée

Aparté

Course-poursuite

La Grande Tragédie de la Nativité ou La Naissance

Les locataires d'un immeuble, une Baronne, un Chevalier et un Marquis, se réunissent pour demander à leur propriétaire M. Dubost de chasser Guignol, un autre locataire qui leur joue de mauvais tours: il attache un chat au cordon de la sonnette, tend un fil dans l'escalier pour faire tomber ceux qui l'empruntent, cloue des planches sur la porte d'un appartement et y écrit "fermé pour cause de décès". Le propriétaire demande des explications à Guignol qui lui dit se venger ainsi de ce que ses voisins lui font subir. Comme il ne peut mettre Guignol à la porte car celui-ci paye régulièrement son loyer, il lui propose de changer d'appartement, mais Guignol réclame cent écus pour son déménagement. Le propriétaire refuse et va chercher le Bailli pour se plaindre. Le Bailli veut faire arrêter Guignol et appelle deux Cavaliers pour l'aider. Guignol les chasse tous les trois à coups de bâton.