Polichinelle s'est engagé pour six ans comme soldat. Arrivé au camp de l'armée française devant Kehl, il prend peur et veut retourner à Paris. Condamné à être pendu comme déserteur, il est gracié en raison de la reddition de la garnison du fort.

Marionnette à tringle et à fils

Non spécifié

Carolet Denis

France

Paris

Imprimé

Armée

Déserteur

Peur

Peine de mort

Antimilitarisme

Guerre

Comique

Manuscrit de La Prise du fort de Kehl (Bibliothèque nationale de France, Ms. fr. 9294)

Français

Polichinelle

Sergent

Tambour (homme)

Trompette (homme/femme militaire)

Général

Juge

Scène de pendaison

Chanson finale

La Prise du fort de Kehl

Polichinelle et Pierrot décident de s'engager dans l'armée "pour aller à la guerre (...), pour manger des pommes de terre, pour passer (leur) hiver". Ils trouvent un sergent recruteur qui est très content de leur initiative : il leur versera à chacun 50 francs s'ils sont déclarés valides pour le service. Polichinelle et Pierrot sont enrôlés, mais ils ne parviennent pas à apprendre la théorie militaire. De plus, le service militaire est trop ennuyeux. Polichinelle abuse des consignes données par le sergent et crie "À la garde!" quand il voit deux chiens se battre. Le sergent lui donne quatre jours de salle de police. Les amis décident alors qu'ils ne veulent plus servir et vont boire un verre. Le sergent les déclare déserteurs et envoie des soldats à leur poursuite. La pièce se termine par le massacre des soldats.