Le Roi et la Reine de Mars attendent l'arrivée d'un être prodigieux, Matoum, mais celui-ci est précédé de son double, l'usurpateur Tévibar. Tandis que les poèmes récités par Matoum apportent la lumière et les couleurs sur la planète, ceux de Tévibar provoquent la mélancolie et la grisaille. Au cours des joutes entre les deux poètes, Tévibar fait s'évanouir la Reine et mourir le Roi, mais Matoum les ramène à la vie avant de s'envoler vers la Terre pour participer à la guerre.

Marionnette à gaine

Non spécifié

Albert-Birot Pierre

France

Paris

Italie

Rome

Imprimé

Science-fiction

Poésie

Planète Mars

Imposteur

Avant-garde

Séduction

Séducteur importun

Évanouissement

Guérison miraculeuse

Résurrection

Ascension

Futurisme

Guerre

Comique

Merveilleux

Satirique

Pierre Albert-Birot, Matoum et Tévibar, éditions SIC, 1919 (couverture)

Français

or the enlightening and recreational Story of the true and fake poet

Matoum

Tévibar

Reine

Courtisane

Régisseur

Docteur

Directeur

Foule

Prologue

Adresse au public

Collage

Interruption

Quiproquo

Chanson

Décor à transformation

Jeux de lumière

Coup de bâton

Combat

Métamorphose

Matoum et Tévibar

Arlequin, Pierrot et le Diable rivalisent entre eux. Ils jouent à être les dieux Brahma, Vichnou et Siva et à créer des mondes. Ils sont interrompus dans leur jeu par la Concierge, qui se plaint du bruit qu'ils font, puis sont emportés par deux grandes mains (celles du marionnettiste s'il s'agit de marionnettes à gaine).

Marionnette à fils

Naissance

Création du monde

Jeu d'enfants

Religion

Hindouisme

Croissance merveilleuse

Rivalité

Trinité

Fantastique

Pierre Albert-Birot, Les Mains, mise en scène Sándor A. Tóth, Théâtre de l'Arc-en-Ciel, Paris, 1931

Quand on est trois

Sketch pour quatre marionnettes (soit à gaine, soit à fils)

Arlequin

Pierrot

Diable

Concierge

Brahma

Vishnou

Shiva

Double identité

Métathéâtre

Apparition du manipulateur

Visibilité de la main

Les Mains

Kasper monte la garde dans un camp nordiste pris aux confédérés dans l'Etat de Géorgie, en 1865. Il subit les brimades du capitaine Johann, qui le force entre autres à manger du sel. La gentille fée Pocahontas lui propose alors son aide pour faire cocu le capitaine Johann : elle amène à lui la jolie femme du capitaine dans une crise de somnambulisme et celle-ci se réveille dans le lit que Kasper a pu se procurer grâce aux subsides de Pocahontas. L'adultère est consommé, mais le capitaine Johann survient et réintègre le lit de sa femme sans plus se soucier de Kasper. Au second acte, le capitaine accuse Kasper d'être un traître, parce qu'il ne s'appelle pas Johann comme tous les autres personnages ; un pot de chambre offert par sa femme, qui est resté sur la scène depuis la fin de l'acte précédent, lui fournit un prétexte pour le faire arrêter. Pocahontas sauve Kasper et l'amène dans le Dakota du Nord chez les Indiens. Elle consent aussi à faire venir la femme du capitaine pour que Kasper ne soit pas seul. On apprend qu'en réalité, cette dernière ne s'appelle pas Johanna, mais Greterl...

Adultes

Artmann Hans Carl

Autriche

Vienne

H. C. Artmann (Hans Carl Artmann)

Armée

Militaire

Garde

Hyène

Animal

Lune

Crocodile

Oiseau

Noir

Infidélité

Fornication

Scatologie

Amérindien

Burlesque

Absurde

Allemand

kasper als schildwache

kasper als privater in der armee der nordstaaten

Kasperl

ein farbiger trainsoldat erster klasse namens johann

Soldat

Homme de couleur

der koch, ein dicker mensch namens johann

Cuisinier

der herr hauptmann, ein böser mensch namens johann

Capitaine

Fée

der onkel sam, welcher aber auch johann heißt

Oncle Sam

ein waldhornist der nordstaaten, der sich johann nennt

der präsident johann linkoln, welcher aber nicht auftritt

Président

Apparition

Déguisement

Équivoque grivoise

Air instrumental

Rivalité amoureuse

Substitution d'un personnage par un autre

Die liebe fee pocahontas

La gentille fée Pocahontas

Un cuntista en chair et en os raconte que Carlo Magno a donné une fête pour la naissance de son premier enfant, réunissant les paladins de France et des chevaliers étrangers. La princesse Angelica arrive accompagnée de son frère Argalia et de quatre géants. Angelica et Carlo Magno concluent un pacte : le premier chevalier qui vaincra Argalia dans un duel à la lance pourra épouser la princesse, mais tous ceux qui seront vaincus seront faits prisonniers. Tous les paladins et les chevaliers étrangers veulent se battre. Le nécromancien Malagigi découvre la supercherie : Argalia possède une lance magique et Angelica a un anneau qui la rendra invisible et lui permettra de s'échapper. Mais Malagigi n'arrive pas à prévenir les paladins, car ayant lui-même succombé à la beauté d'Angelica, il est fait prisonnier. Après Astolfo (premier chevalier à perdre le duel à la lance contre Argalia) vient l'espagnol Ferraù qui n'accepte pas la défaite et finit par tuer Argalia. Astolfo et Angelica parviennent à s'enfuir. 
Dans le Palais Royal, Carlo Magno est désespéré, car une armée ennemie assiège la ville de Paris et la plupart des paladins (y compris Orlando) sont partis à la recherche d’Angelica. Carlo Magno confie le commandement de l'armée à Rinaldo. Entretemps, Angelica tombe amoureuse du soldat païen Medoro, Orlando devient fou en découvrant leur amour et Astolfo trouve un hippogriffe qui l’emmène sur la lune. Le cuntista raconte qu'Astolfo trouve sur la lune l'esprit perdu d'Orlando. Il interrompt alors le récit et annonce qu’il le poursuivra une autre fois.