Jan Klaassen annonce au public qu'il vient de se marier avec Katrijn en et débite des grossièretés sur elle. Quand elle arrive, il la frappe en continuant de l'insulter.
Kleine Ko (une marionnette avec un très long cou extensible) entre en scène en dansant, dos au public. Jan Klaassen l’interpelle, mais à chaque question Kleine Ko secoue la tête pour dire non. Son cou s'étire jusqu’au plafond tandis que Jan Klaassen essaie de le tirer vers le bas, mais Ko disparaît.
Jan Klaassen appelle Katrijn pour sortir un costume de sa malle parce que c’est son anniversaire. Katrijn refuse d’abord, mais Jan insiste et quand elle ouvre la malle il la pousse dedans et l'y enferme. Jan Klaassen essaie de vendre la malle à un marchand. Au moment où celui-ci ouvre la malle, Katrijn l’attrape et Jan les pousse tous les deux à l’intérieur. Il part en chantant. Jan Klaassen va devenir soldat. Un général arrive pour le former aux armes, mais Jan Klaassen lui fait des tours. Vexé, le général provoque Jan en duel Jan, et tous deux se battent avec des fusils en guise d’épées. Jan Klaassen trompe le général, le tue, appelle des croque-morts pour l'enterrer. Ils ont du mal à mettre le général dans son cercueil, mais y arrivent enfin et partent en chantant. Un bourreau installe une potence. Jan Klaassen demande au public qui devrait y être pendu. Quand le bourreau revient pour le pendre, Jan Klaassen fait semblant de ne pas savoir où mettre sa tête et demande au bourreau de lui montrer comment faire. Il en profite pour le pendre.

Marionnette à gaine

Marotte

Non spécifié

Cabalt Janus

Pays-Bas

Amsterdam

Imprimé

Grossièreté

Mariage

Malle

Piège

Duel

Ruse

Farcesque

Comique

Janus Cabalt, Jan Klaassen en Katrijn, capture d'écran d'un film amateur anonyme de 1929.

Néerlandais

Jan Klaassen

Katrijn

Marchand

Général

Fossoyeur

Bourreau

Dialogue avec le public

Crise de nerfs

Enfermement

Coup de bâton

Allongement invraisemblable d'un personnage

Scène de pendaison

[Jan Klaassen en Katrijn]

Jan Klaassen et Katrijn

Canezou, un riche marchand parisien, propose à sa fille Caroline d’épouser le fils de son ami Fromaget, un jeune homme beau, intelligent et riche. Mais la capricieuse jeune fille refuse tous les prétendants roturiers. Arthur Galuchait, le fils d’un vieil ami de Canezou, revient à Paris après avoir fait fortune aux Indes et demande la main de Caroline. Le père prévient Arthur de l’état d’esprit de sa fille. Le jeune homme, qui fait d’abord excellente impression à Caroline, est mis à la porte dès qu'elle apprend qu’il n’est pas noble. Arthur croise Oscar, lui aussi prétendant éconduit par la belle pour la même raison. Tous deux, désireux de donner une bonne leçon à Caroline, s’associent au menuisier Billembois.
Arthur se présente alors chez Canezou habillé à l'indienne pour délivrer un message du roi Menemetapa : le Roi désire marier son fils à la belle Caroline dont celui-ci se serait épris en la voyant au Théâtre des Italiens. Pour cela, le jeune Prince va élever Canezou au rang de "Grand Crustacé du royaume". Canezou fait venir sa fille, chancelante d’émotion. Oscar, déguisé au milieu d’une parade de serviteurs, escorte Billembois, affublé d’une fausse moustache et d’un costume de prince oriental. Billembois fait sa demande en mariage à Caroline dans un galimatias exotique et celle-ci, émerveillée, consent à l’épouser. Billembois embrasse Caroline. Quand Canezou et Caroline sont sur le point de signer le contrat de mariage préparé par Oscar, Billembois, qui a des scrupules à blesser Caroline, dénonce la supercherie et se démasque. Arthur s’énerve contre Billembois qui n’était supposé révéler sa véritable identité qu’après la signature du contrat. Oscar se démasque à son tour. Oscar, Arthur, Billembois et le reste du cortège se retirent. Guérie de ses rêves de grandeur, Caroline avoue être restée sous le charme de Billembois. Canezou, estomaqué, revient tout de même à la charge avec le fils Fromaget.