Polichinelle et le Compère évoquent un combat naval qui vient d'avoir lieu. Une troupe de comédiens français et italiens est attaquée en mer par des corsaires conduits par un renégat français. Celui-ci les amène à Tunis. Les comédiens donnent une représentation devant le Gouverneur, ils effraient le public avec le masque d'Arlequin et sont envoyés travailler dans les champs. Les avances du Gouverneur sont repoussées par les comédiennes. Le renégat organise leur fuite pour rentrer en France.

Marionnette à tringle et à fils

Non spécifié

France

Paris

Manuscrit

Relations chrétiens-musulmans

Tunisie

Corsaire

Esclavage

Trahison

Renégat

Harcèlement

Fait-divers

Travail des champs

Censure

Dramatique

Français

Comédien

Polichinelle

Compère

Soldat

Pierrot

Messager

Suisse

Léandre

Pantalone

Arlequin

Théâtre dans le théâtre

Chanson

Personnage masqué

Changement de décor à vue

Prologue

Accent étranger comique

Dialogue avec un personnage dans le public

Actualité

Combat naval

La Prise d'une troupe de comédiens par un corsaire de Tunis au mois de septembre 1740

Après avoir fait l'éloge du duc de Bourgogne, Polichinelle reparaît en compagnie de Madame Gigogne. Tous deux se mettent à danser. Madame Gigogne donne naissance à des filles qui accouchent à leur tour d'autres filles. Polichinelle se réjouit d'être le grand-père de cette « pépinière » et assure qu'elle se mettra au service du duc. Il lui demande de le reconnaître comme seul Polichinelle admis à la Cour.

Jeune public

Imprimé

Accouchement

Privilége

Siège

Éloge

Laudatif

Comique

Merveilleux

suivi d'un combat naval et d'un siège de ville

Dame Gigogne

Ballet

Personnages démultipliés

Accouchement en scène

Intermède de marionnettes

L'Autrichien Kirchnaz a été envoyé à Lyon pour se mettre à la disposition du Turc Ouadine. Celui-ci veut saboter les plans de Guignol qui veut rejoindre les Bulgares comme aviateur. Comme Guignol décide de prendre le bateau de Gnafron pour aller en Grèce d'où il pourra rejoindre la Bulgarie, Ouadine envoie Kirchnaz acheter le bateau. Guignol accepte de lui vendre le bateau, à condition que Kirchnaz passe d'abord par la Grèce. Guignol et Kirchnaz partent, accompagnés de Gnafron et de la vieille blanchisseuse, la mère Traquenet, contre son gré.
Au bout de 15 jours de navigation, Guignol commence à douter de la route prise par Kirchnaz. Celui-ci le rassure en lui disant qu'ils sont proches de leur destination. À ce moment-là, un torpilleur turc tire sur leur bateau. Quand Kirchnaz conseille de se rendre, Guignol comprend que celui-ci les a conduits en Turquie.
Suite au torpillage du bateau, Guignol et Kirchnaz tombent à l'eau et sont hospitalisés à l'infirmerie française de Constantinople. Gnafron et la mère Traquenet y sont devenus infirmiers par solidarité avec la directrice Lucienne, qui vient de Lyon comme eux.
Ouadine annonce à Kirchnaz que les Turcs sont assiégés à Andrinople par les Bulgares., et qu'il faut empêcher à tout prix Guignol de les rejoindre. Grâce à Gnafron et Lucienne, Guignol parvient à rejoindre l'armée bulgare. Lucienne, Gnafron et la mère Traquenet se rendent à Andrinople soigner les nombreux blessés. 

Dans Adrianople assiégée, la nourriture vient à manquer. Gnafron doit remplacer l'infirmier en chef. L'avion de Guignol et Troja, fille du général bulgare, s'écrase dans la cour de l'infirmerie. Gnafron dit à son ami qu'il faut prévenir les Bulgares car des Turcs se sont infiltrés dans le quartier neutre de la ville. Malgré tous les obstacles, Guignol, Lucienne et Troja, poursuivis par les Turcs, parviennent à accéder au télégraphe. Grâce à une ruse, les amis échappent aux ennemis et retournent chez les Bulgares. Andrinople est prise. Guignol demande Lucienne en mariage.