Kasperl traque le braconnier Mathias Klostermeier, le « Hiesel » de Bavière, dont la tête a été mise à prix. Mais Hiesel le rencontre à l'auberge de Leder : en fâcheuse posture, Kasperl accepte de s'engager dans sa bande. Peu après, Hiesel tue un garde-chasse en duel. Cependant les compagnons de Hiesel fomentent un cambriolage à Derferding, malgré le désaccord de leur chef qui ne veut pas être mêlé à des affaires de banditisme : une fois leur coup réussi, tous doivent s'enfuir en Suisse. Sur ces entrefaites, ils sont attaqués par le capitaine Schädel et sa troupe, qui les ont retrouvé à la suite d'une indiscrétion de Kasperl. Les braconniers sont condamnés à mort et amenés pour être exécutés. Lors du procès, Kasperl répond à tort et à travers et le rideau tombe sur une bagarre dans la salle du tribunal.

Marionnette à fils

Non spécifié

Allemagne

Landsberg am Lech

Imprimé

Brigand

Bandit

Braconnier

Auberge

Forêt

Bois

Justice

Jugement

Bavière

Argent

Pauvreté

Crédit

Dette

Dramatique

Affiche datant de la moitié du 19e siècle, conservée à la Bayerische Staatsbibliothek et reproduite dans l'ouvrage de Hans Netzle: Das Süddeutsche Wander-Marionettentheater, Frankfurt, Puppen&amp;Masken, 2005, p. 240

Allemand

Mathias Klostermeier ; Die unglücklichen Wildschützen ; Das lustige Elend

Der Bayrische Hiesel

Kasperl

Juif

Serveuse

Aubergiste (femme)

Garde-chasse

Capitaine

Fonctionnaire

Secrétaire

Soldat

Chasseur

Paysan

Huissier

Quiproquo

Rebondissement

Scène d'auberge

Mot pour un autre

Meurtre en scène

Chanson

Voix hors-scène

Choeur

Retournement de situation

Combat ridicule

Enfermement

Dialecte

Procès parodique

Jodel

Mathias Klostermeir

Mathias Klostermayer

Don Juan tente de prendre de court son rival Don Philippo en enlevant de nuit Donna Amarillis. Mais il est surpris par le père de celle-ci, le gouverneur de Séville Don Pietro, qu'il tue en duel. Il cherche alors sans succès à emprunter de l'argent à un vieux cousin (ou à son propre père, qu'il finit par assassiner dans la seconde version). Quand il parle de se damner, Hans Wurst veut lui rendre service en faisant apparaître le diable grâce à une formule magique qu'il a apprise d'un magicien. Cependant, Don Juan se moque du diable et c'est finalement Hans Wurst qui est emporté dans les airs sur une saucisse géante : heureusement, il atterrit à l'auberge où l'attendait son maître. L'un et l'autre se retrouvent après un naufrage dans un bois à quelques lieues de Séville, où ils rencontrent un ermite que Don Juan force à lui céder ses vêtements. Survient alors Don Philippo, qui chasse dans ces bois : Don Juan le poignarde, le laissant pour mort. Il cherche encore à séduire une bergère et Donna Amarillis, qui participait elle aussi à la chasse. Toujours poursuivis par les hommes de Don Philippo, Don Juan et Hans Wurst parviennent à une auberge près du cimetière de l'église : Don Juan invite la statue du gouverneur Don Pietro à dîner avec lui et accepte ensuite de suivre son hôte dans le caveau, où il périt dans les souffrances de l'enfer. Hans Wurst, quant à lui, épouse la tenancière de l'auberge.

Dresde

Séducteur importun

Séducteur

Assassinat

Parricide

Domestique

Valet

Meurtre

Meurtre en série

Fantôme

Revenant

Religion

Morale

Rapt

Don Juan, der vierfache Mörder, oder das Gastmahl um Mitternacht auf dem Kirchhofe

Der steinerne Gast

Don Pietro

Donna Amarillis

Don Filippo

Don Juan

Hanswurst

Pantolfius

Ermite

Diable

Apparition

Furie

Intervention finale du diable

Déguisement

Métamorphose

Lazzi

Monologue

Une colombe que le chevalier Theobald a sauvé des griffes d'un vautour se réfugie dans le giron de sa fille Agnes. Sur ces entrefaites, leur voisine, la veuve Rosalinde, vient avec sa fille Emma chercher protection auprès de Theobald contre Ulrich von der Wart, qui veut la spolier de ses terres. En gage d'amitié, Agnes offre à Emma sa colombe. Ulrich a engagé le brigand Dietrich pour s'introduire dans le château de Theobald et le mettre à feu et à sang à l'aide de sa bande. Mais Casperl, le serviteur de Rosalinde chez qui les brigands, déguisés en pèlerins, ont fait halte, surprend leurs manigances et les rapporte à sa maîtresse. Déjà Theobald et les siens seraient perdus, si Emma n'avait pas l'idée d'envoyer à Agnes la colombe avec un message pour les prévenir. Theobald réduit les brigands à l'impuissance, puis assiège le château d'Ulrich, qui est tué dans la bataille.

Jeune public

Pocci Franz von

Munich

Moyen-âge

Veuve

Chevalerie

Rapacité

Amitié

Pélerinage

Château

Boisson

Croisade

Siège

Burlesque

Illustration de Franz Pocci pour la première édition de la pièce

Nach einer Erzählung von Christoph Schmid in vier Aufzügen dramatisch bearbeitet

Chevalier

Dietrich le Noir

Garde

Serviteur

Cavalier

Calembour

Lettre

Récit

Die Taube

La Colombe

Le Roi apprend par une lettre anonyme que Kasimir, le fiancé de sa fille Pumfia, n'est autre que le terrible brigand Jaromir. Lorsque ce dernier survient et confirme à Pumfia la nouvelle, le Roi se bat contre lui en duel, mais Jaromir victorieux lui tranche la tête. Pumfia veut alors se retirer au couvent. Jaromir lui propose de la consoler et ils s'enfuient ensemble : c'est le triomphe de l'amour.

Marionnette à gaine

Stauda Johannes

Josefine (?)

Tchéquie

Všeruby

Trahison

Duel

Décapitation

Couvent

Séduction

Ein altes Puppenspiel

Esclave

Räuber Jaromir

Équivoque grivoise

Combat

Morcellement du corps

Personnage décapité

Der Sieg der Liebe

Le Triomphe de l'Amour

Dans une banlieue inconnue peuplée de sans-abris, de criminels, de femmes aux mœurs faciles et d’animaux, le bandit Arsène accomplit tous ses vols en portant un masque de vieil homme pour tromper la police qui le recherche. Lorsqu’il apprend que sa bien-aimée, Walkyrie, l’a trahi avec Mimile, Arsène implique ce dernier dans une de ses affaires. Mimile est ainsi attrapé par la police, mais il sera libéré. Pendant ce temps, Arsène oublie Walkyrie en couchant avec Isidora, mais quand il lui demande de l’épouser, elle s’énerve en refusant le rôle de la femme au foyer. Chaque personnage reste ainsi pris dans ses propres affaires, c’est-à-dire, comme le dit le panneau final, "sans nulle consolation ni aggravation d’ailleurs".