Don Juan a chargé son domestique Kasperl de vendre sa dernière chemise et son dernier manteau, mais Kasperl a bu l'argent de la vente. Il l'envoie alors en emprunter à son père, le chevalier Pantolfius. Comme ce dernier refuse, Don Juan vient lui-même le sommer d'obtempérer, mais en vain, et Kasperl lui donne un coup de pied dans le nez. Pour trouver de l'argent, Kasperl a alors l'idée de convoquer le diable, mais quand Don Juan veut lui vendre son âme, il lui répond qu'elle lui appartient déjà et l'emporte en enfer.

Non spécifié

Reinhardt Carl

Allemagne

Munich

Imprimé

Tralala

Ivrognerie

Ivrogne

Boire

Crédit

Père

Perlike

Argent

Dette

Coups

Radirullala

Diable

Châtiment éternel

Satirique

Parodique

Grotesque

Farcesque

Illustration de Carl Reinhardt, « Das wahrhaftige Kasperltheater », Münchner Bilderbogen, 1852 : Kasperl frappe Pantolfius à coups de talon

Allemand

Don Juan

Pantolfius

Kasperl

Intervention finale du diable

Coup de théâtre

Chanson

Pacte avec le diable

Kasperl und Don Juan

Kasperl et Don Juan

Après avoir enfermé le diable dans une boîte (dans <a href="https://puppetplays.eu/oeuvres/5840/kasperl-und-der-teufel" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Kasperl und der Teufel</a>), Kasperl veut le jeter à l'eau. Soudain, c'est sa femme qui surgit de la boîte... et qui se met à le gifler à tours de bras, pour se venger d'avoir voulu se débarrasser d'elle (<a href="https://puppetplays.eu/oeuvres/5777/frau-kasperl-und-die-köchin" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Frau Kasperl und die Köchin</a>) ! Kasperl finit par jeter femme et boîte hors du castelet et s'en va à l'auberge. En chemin, il croise un curieux animal qui pépie, le caresse, se fait mordre la main. Il va chercher une saucisse pour le nourrir, mais il la mange lui-même et tend à la bête la peau de la saucisse. La bête lui happe le bras avec sa gueule, puis l'attrape par les fonds de culottes... Il va chercher son bâton, que la bête essaie de saisir, avant de se prendre elle-même des coups et de prendre la fuite, poursuivie par Kasperl qui veut l'assommer.

Marionnette à gaine

Saucisse

Animal

Bête

Bâton

Massue

Femme

Boîte

Rossignol

Crocodile

Auberge

Taverne

Gueule

Gourmandise

Faim

Comique

Carl Reinhardt,Das geheimnisvolle Tier, 1852.

Frau Kasperl

Course-poursuite

Coup de bâton

Scène de ménage

Gifle

Das geheimnisvolle Tier

L'animal mystérieux

Le diable subtilise la boîte dans laquelle Kasperl, dans la pièce précédente (<a href="https://puppetplays.eu/oeuvres/5777/frau-kasperl-und-die-köchin" target="_blank" rel="noreferrer noopener">Frau Kasperl und die Köchin</a>) avait enfermé sa femme, son amante et le veilleur de nuit. Il lui substitue une autre boîte dans laquelle Kasperl manque de se coincer le nez quand il vient humer si elle ne contient pas des saucisses. Au lieu de cela, c'est le diable qui en surgit et qui veut l'emporter. Mais Kasperl s'amuse à le faire disparaître et réapparaître avec la formule magique « Parlucke! Parlicke », jusqu'à ce que le diable ait le tournis et crie grâce. Il insiste pour que Kasperl le suive, celui-ci finit par annoncer qu'il va faire son testament et revient avec une massue, avec laquelle il tue le diable. Il le renferme dans la boîte et s'en va la jeter au feu.

Manger

Grands-parents

Inversion des rôles

Comique de répétition

Apparition du Diable

Cadavre dissimulé

Kasperl und der Teufel

Kasperl et le diable

Kasperl traîne sur la scène le cadavre du diable qu'il a tué dans Kasperl und der Teufel et s'en débarrasse en le jetant hors du castelet. Sa femme lui annonce soudain que la Mort approche et s'enfuit à toutes jambes. La Mort annonce à Kasperl qu'il est temps de mourir, sur quoi il lui répond qu'il n'en a pas le temps. Comme la Mort insiste, il demande à aller encore embrasser sa chère épouse avant de s'en aller : il revient avec son bâton et, laissant la Mort le précéder, il la fait voler le squelette en morceaux d'un grand coup dans le dos. Il s'en va en chantonnant : tout le monde célèbrera désormais Kasperl pour avoir vaincu la Mort.

Macabre

Mort

Ménage

Bière

Détail d'une page de Carl Reinhardt, Das wahrhaftige Kasperltheater (d'après une réédition de 1924, Wien/Leipzig/München, Rikola Verlag, p. 75) : Kasperl fait voler la Mort en morceaux.

Mort (La)

Allégorie

Adresse au public

Épilogue

Kasperl und der Tod

Kasperl et la mort

Kasperl quitte sa femme Grete et son emploi auprès du paysan Stoffelbauer pour s'en aller de par le vaste monde. En chemin, il rencontre le génie des montagnes de Cuivre Cuprus, déguisé en vieillard, et lui donne les trois pièces de cuivre qu'il a sur lui. Cuprus l'en remercie en lui offrant en retour un violon magique, avec lequel il fait tout d'abord danser le juif Mauschl, dont il a découvert les malversations, jusqu'à l'évanouissement : deux brigands, Fangauf et Schnapper, en profitent pour subtiliser à Mauschl sa bourse. Kasperl se fait alors connaître à la cour du duc Richard comme le violoniste Spagatini et séduit la fille du duc, la princesse Amalie, ainsi que sa dame d'honneur. Il est surpris alors qu'il va leur donner nuitamment la sérénade, mais fait danser la garde et toute la cour, la princesse et la dame d'honneur. Il est néanmoins traduit en justice et accusé par Mauschl du vol de sa bourse, au motif de quoi il est condamné à mort. Devant son gibet, il demande encore à jouer une dernière fois de son violon, dans l'idée de faire danser tout le monde et de s'enfuir à la faveur de la confusion. Mais Cuprus apparaît avec Grete, pour retirer au violon ses vertus magiques et accorder à Kasperl la vie sauve, mais à condition qu'il reprenne sa condition première aux côtés de sa femme.

Marionnette à fils

Jeune public

Pocci Franz von

Paresse

Mines

Nature

Cuivre

Musique

Concert

Génie (être surnaturel)

Individu et histoire

Magie

Amour

Amour impossible

Romantisme

Séduction

Sérénade

Justice

Musicien

Aristocratie

Cour royale

Gibet

Potence

Faust

Merveilleux

Lyrique

Page titre de la pièce illustrée par l'auteur, dans l'édition originale de la pièce