Après les salutations de Polichinelle au public, la pièce commence par l'entrée d'un Aveugle qui demande l'aumône. Par maladresse, l'Aveugle heurte Polichinelle avec son bâton, tous deux se disputent et Polichinelle assomme l'Aveugle. La Femme de l'Aveugle, furieuse, attaque Polichinelle et lui mord le nez. Il l'assomme à son tour et les jette tous deux hors du castelet. Le Commissaire arrive et veut pendre Polichinelle. Il demande au Chat de l'aider, mais celui-ci le griffe. Le Commissaire fait alors croire au Chat que la potence est destinée à un autre. Faisant semblant de ne pas savoir comment glisser la tête dans le noeud coulant, Polichinelle demande au Commissaire de lui montrer comment faire et en profite pour le pendre. Il sort, emportant le chat sous son bras.

Marionnette à gaine

Animal dressé

Non spécifié

France

Paris

Imprimé

Mendicité

Maladresse

Cruauté

Chat

Ruse

Piège

Désobéissance

Insolence

Comique

Farcesque

Polichinelle, l'Aveugle et le Chat. Les Grotesques, 1838.

Français

écrit sous sa dictée aux Champs-Élysées

Polichinelle

Aveugle

Épouse

Commissaire de police

Chanson

Adresse au public

Personnage aveugle

Combat

Coup de bâton

Personnage jeté hors de la scène

Comique de langage

Combat contre un animal

Scène de pendaison

Drame du Polichinelle français

Marina est encore une enfant quand sa mère meurt et que son père décide de se retirer dans un monastère. Puisque la fillette est désespérée, son père lui propose de se faire passer pour un garçon afin qu'elle puisse vivre à ses côtés dans le monastère. Après la mort de son père, Marina reste au monastère sous le nom de Fra Marino. Au cours d'un voyage, Marina passe une nuit dans une taverne, et le lendemain, l'aubergiste l'accuse d'avoir mis sa fille enceinte. Au lieu de se défendre, Marina assume le péché d'un autre, suivant ainsi l'exemple de Jésus. Chassée du monastère, elle devient mendiante, toujours habillée en homme. Lorsque l'aubergiste lui apporte le nourrisson de sa fille, Marina le garde avec elle. Mais au bout de cinq ans, elle tombe malade, usée par le labeur et les souffrances endurées dans la rue. L'enfant, Fortunato, demande alors de l'aide aux moines, qui décident d'accueillir à nouveau "Fra Marino" au monastère. Mais il est trop tard : Marina meurt. Les frères découvrent que "Fra Marino" était une femme et donc innocente du péché dont on l'accusait. Un ange emmène l'âme de Marina au Paradis, tandis que les frères la célèbrent comme une sainte.

Marionnette à tringle et à fils

Cuticchio Anna

Italie

Palerme

Dactylographie

Travestissement

Accusation

Genre

Monastère

Enfant trouvé

Didactique

Laudatif

Dramatique

Affiche du spectacle S. Marina di Bitinia d'Anna Cuticchio