La baronne attend des ramoneurs sur son balcon. Lorsqu’ils apparaissent, ils annoncent un prix qui ne convient pas à la baronne. De plus, le baron s’oppose à ce que l’on ramone les cheminées. Malgré tout, la baronne insiste, et les ramoneurs commencent leur travail en chantant une chanson que la baronne juge insolente. Furieuse, elle saisit un pot de chambre auquel est attaché un fil de laiton, passé préalablement dans le chapeau d’un des ramoneurs, et retourne sur le balcon. Lorsque les ramoneurs quittent la maison et reprennent leur chanson, on tire sur le fil : le pot de chambre tombe et remplace alors le chapeau sur la tête de l'un des ramoneurs.

Théâtre d'ombres

Jeune public

France

Versailles

Imprimé

Maison

Ramoneur

Insolence

Farce

Pot de chambre

Comique

Farcesque

<a href="https://webmuseo.com/ws/musee-de-l-image/app/collection?vc=ePkH4LF7w6ieTM2UcCYVtAowxDMkCK2qNDY3NMSoefEHNgD5JSrB&amp;page=1" title="Filtrer la collection par Planche 5. OMBRES CHINOISES. LA FERMIÈRE COQUETTE. MADAME LA BARONNE. (titre inscrit)" target="_blank" rel="noreferrer noopener"></a>La fermière coquette et Madame la Baronne. Ombres à découper. Imprimerie Dembour et Gangel, Metz, s.d.

Français

Baronne

Baron

Comique de situation

Chanson

Objet piégé

Madame la Baronne

L'ambitieux docteur Faust s'initie à la magie noire et conclut un pacte avec le diable Mephistopheles, auquel il promet son âme si celui-ci accepte de le servir. Faust s'en va pour Parme avec Mephistopheles et son domestique Hans Wurst, lequel est tenu de garder le secret sur l'identité de son maître : mais il la révèle au duc de Parme dès son arrivée. Faust fait apparaître devant le duc plusieurs spectacles de la nature - l'Etna en éruption, une tempête sur la mer - mais il s'attire la haine de la cour en montrant au duc la vraie nature de ses courtisans, et doit fuir. Congédié, Hans Wurst trouve cependant refuge auprès de Wagner, le serviteur de Faust. Mephistopheles finit de perdre Faust en lui accordant l'amour de la belle Hélène de Troie. Il lui montre aussi que sa générosité ne le sauvera pas, parce que ses bienfaits ont eu des effets néfastes pour ses protégés. Faust comprend qu'il est damné, prend congé de Hans Wurst et de Wagner, et se livre à l'Enfer quand la douzième heure sonne.

Non spécifié

Allemagne

Augsbourg

Savant

Wittenberg

Nécromancie

Sorcellerie

Vice

Nature

Marine

Courtisans

Scatologie

Crucifix

Enfer

Châtiment éternel

Vanité

Tragique

Burlesque

Première page de la pièce dans l'édition de Johann Scheible, Das Kloster, 1847

Allemand

Ein Trauerspiel in 3 Theilen und 9 Aufzügen. (Vom Augsburger Puppentheater.)

Faust

Génie

Ange gardien

Satan

Christoph Wagner

Hanswurst

Méphistophélès

Diable

Duc de Parme

Hélène de Troie

Monologue

Dilemme

Air instrumental

Tableau

Scène improvisée

Lazzi

Mot pour un autre

Réitération de mots

Apparition

Pacte avec le diable

Équivoque grivoise

Volerie

Diorama

Passages versifiés

Johann Faust

Après les salutations de Polichinelle au public, la pièce commence par l'entrée d'un Aveugle qui demande l'aumône. Par maladresse, l'Aveugle heurte Polichinelle avec son bâton, tous deux se disputent et Polichinelle assomme l'Aveugle. La Femme de l'Aveugle, furieuse, attaque Polichinelle et lui mord le nez. Il l'assomme à son tour et les jette tous deux hors du castelet. Le Commissaire arrive et veut pendre Polichinelle. Il demande au Chat de l'aider, mais celui-ci le griffe. Le Commissaire fait alors croire au Chat que la potence est destinée à un autre. Faisant semblant de ne pas savoir comment glisser la tête dans le noeud coulant, Polichinelle demande au Commissaire de lui montrer comment faire et en profite pour le pendre. Il sort, emportant le chat sous son bras.

Marionnette à gaine

Animal dressé

Paris

Mendicité

Maladresse

Cruauté

Chat

Ruse

Piège

Désobéissance

Polichinelle, l'Aveugle et le Chat. Les Grotesques, 1838.

écrit sous sa dictée aux Champs-Élysées

Polichinelle

Aveugle

Épouse

Commissaire de police

Adresse au public

Personnage aveugle

Combat

Coup de bâton

Personnage jeté hors de la scène

Comique de langage

Combat contre un animal

Scène de pendaison

Drame du Polichinelle français

Polichinelle entre en chantant. Il tue Pierrot qui tentait de l'imiter. Il tue ensuite l'enfant de la Mère Gigogne parce qu'il ne cessait de crier, puis assomme la Mère Gigogne qui protestait. Il tue le médecin Bouillon-Pointu venu lui proposer un remède contre son ventre gonflé, puis le Commissaire venu l'arrêter, mais, après un nouveau combat contre deux Gendarmes, ceux-ci parviennent à le maîtriser. Jeté en prison, Polichinelle doit être pendu, mais il réussit à pendre le Bourreau à sa place. Dans un dernier combat contre le Diable, il finit par vaincre ce dernier et le jeter hors du théâtre.

Rivalité

Assassinat

Infanticide

Meurtre en série

Punition

Mathieu Gringoire, vignette pour Polichinelle, 1838.

Pierrot

Mère Gigogne

Bébé

Médecin

Gendarme

Bourreau

Meurtre en scène

Apparition du Diable

Polichinelle entre en scène et frappe à coups de bâton le patron d'un cabaret qui venait le saluer. Tous deux se battent, et Polichinelle tue le Cabaretier. La Femme du Cabaretier demande à Polichinelle où se trouve son mari. Il la frappe à son tour et elle emporte le cadavre de son mari dans l'auberge. Le Commissaire vient chercher Polichinelle pour le mettre en prison, mais Polichinelle le rosse et il s'enfuit. Le Gendarme, à son tour, veut l'arrêter. Polichinelle le frappe lui aussi, mais d'autres Gendarmes arrivent et réussissent à se saisir de lui. Polichinelle est mis en prison. Le Bourreau veut le pendre, mais Polichinelle fait semblant de ne pas savoir mettre sa tête dans le noeud coulant et demande au Bourreau de lui montrer comment faire, puis profite de l'occasion pour le pendre. Le Diable vient pour conduire Polichinelle en Enfer, tous deux se battent mais c'est le Diable qui triomphe et sort en emportant Polichinelle avec lui.

Foa Eugénie

Agression

Méchanceté

Cabaretier

Cabaretière

Mort en scène

Le peintre Schmierpinsel est à une cérémonie de remise de prix. En son absence, son domestique Casperl se fait passer pour l'artiste devant une dame qui veut faire peindre son portrait. Casperl prend un acompte, puis il peint une tête d'âne et finit par frapper la dame outragée avec la toile. De retour, Schmierpinsel est convoqué au commissariat. Suite à sa déposition, le commissaire de police Karrnpichler procède à l'interrogatoire de Casperl. Celui-ci se met à lui barbouiller le visage à la peinture, avant de le jeter dehors.

Marionnette à fils

Pocci Franz von

Munich

Portrait

Peinture

Originalité

Génie (être surnaturel)

Auberge

Prestige

Bégaiement

Outrage

Boisson

Bière

Interrogatoire

Taverne

Satirique

Illustration de Franz von Pocci pour l'édition originale de la pièce

Ein malerisches Lustspiel

Kasperl

Dame

Parodie du langage soutenu

Bagarre

Bégaiement comique

Gifle

Casperl als Porträtmaler

Casperl portraitiste

Ce jour-là, le seul esprit que le magicien Negrocephalus parvient à invoquer est l'esprit-coq Gockelhahn. Celui-ci lui apprend que son épouse, la poule Gackerackack, est en train de couver un œuf d'or, qu'il promet à Negrocephalus de lui rapporter. Le magicien fatigué se retire dans son cabinet, en demandant à son famulus Putzlmayer de faire le guet. Mais Putzlmayer préfère se divertir en faisant de la magie à partir du grimoire de Negrocephalus et invoque à son tour Gockelhahn, qui revient avec l'œuf promis. Quand une voix en sort, Putzlmayer prend peur et se résout à alerter Negrocephalus, avant de prendre la fuite. L'habitant de l'œuf continue de réclamer à corps et à cris qu'on le laisse sortir et Negrocephalus commence à s'inquiéter à son tour. Il fait jurer à l'être enfermé dans l'œuf de ne pas le manger, avant de se risquer à briser la coquille avec sa baguette magique. Coups de tonnerre, éclairs – et Kasperl sort de l’œuf.

Manuscrit

Naissance

Nativité

Mythe

Esprits

Âne

Poule

Œuf

Magie

Apprentissage

Paresse

Nonchalance

Merveilleux

Parodique

Magicien

Famulus

Verschiedene Erscheinungen welche nicht zum Vorschein kommen

Prologue

Coup de théâtre

Numéro de magie

Accent régional comique

Dévoilement

Animal parlant

Voix hors-scène

Objet prenant vie

Pyrotechnie

Das goldene Ei

L’œuf d'or

Le riche Cassandre, désespéré par la bêtise et l'insolence de son fils Pierrot, est prêt à payer une fortune un précepteur. Polichinelle se fait embaucher, mais ses mauvaises leçons d'obéissance, de géographie, de calcul, de morale et d'escrime font de Pierrot un bagarreur, un buveur, un menteur et un voleur qui finit pendu pour avoir escroqué le cabaretier Arlequin et frappé le Gendarme. Quand Cassandre vient demander des comptes à Polichinelle sur la mort de son fils, celui-ci le tue à coups de bâton. Dénoncé par Arlequin comme complice de Pierrot, Polichinelle tue le gendarme venu l'arrêter. Il finit emporté par le Diable.

Tous publics

Duranty Louis Edmond

Relation père-fils

Bêtise

Éducation

Leçon

Escroquerie

Arlequin

Coup de tête

Intervention finale du diable

Onomatopée associée à un personnage

Polichinelle précepteur

Lors d'une fête de mai, alors que paysans et paysannes dansent et chantent, Polichinelle les met en fuite à coups de bâton. Entre-temps, on découvre qu’il a son vingtième anniversaire ce jour-là. Fier d’être majeur, il ordonne à son domestique de préparer un festin. Peu après, il croise Crocofante, un spadassin qui lui propose de s'engager au service de l’État. Mais Polichinelle préfère son bâton et les plaisirs immoraux à l’épée et à l’honneur. Vexé, Crocofante lui lance un défi en duel. Polichinelle accepte, mais seulement après le festin, qui dégénère en une véritable bastonnade où il insulte son père et d’autres convives. Peu après, Polichinelle tue les serviteurs Alain et Nerina, accuse Crocofante et le fait arrêter à sa place.

des Essarts Emmanuel

Fête

Paysan

Anniversaire

Mépris

Mort

Accusation

Alfred des Essarts, illustration pour La Jeunesse de Polichinelle, 1863.