Dans cette version augmentée de la pièce, Kasperl se présente auprès du sultan comme un botaniste et l'impressionne par sa connaissance du radis (qui va bien avec la bière), au point d'être engagé à son service. Mais il est mécontent de sa situation dans un pays musulman où la consommation d'alcool est interdite (sauf pour le sultan, en cachette). Il décide alors de fuir avec l'esclave Mimikatzi, retenue dans le sérail de Schuriburi. Kasperl propose au sultan de le débarrasser des moustiques dont il a à se plaindre et le rosse à mort avec son bâton. La nuit tombe : Kasperl et Mimikatzi s'enfuient.

Marionnette à fils

Jeune public

Pocci Franz von

Allemagne

Munich

Imprimé

Turquie

Despotisme

Cruauté

Pipe

Noir

Femme

Orientalisme

Faim

Musulman

Bière

Botanique

Radis

Moustiques

Sérail

Harem

Musique

Comique

Farcesque

Parodique

Détail du manuscrit, reproduit dans Franz Pocci: Kasperls Heldentaten, Berlin, Henschelverlag, 1984, 446

Allemand

Konstantinopolitanisches Lustspiel

Sultan

Geôlier

Esclave

Kasperl

Tambour (homme)

Turc

Déguisement

Mot pour un autre

Monologue

Meurtre en scène

Allusion à l'actualité littéraire

Fuite

Critique du théâtre d'acteurs

Adresse au public

Coup de bâton

Épilogue

Passages versifiés

Enfermement

Kasperl in der Türkei

Kasperl en Turquie

Le botaniste Pomologus veut garder sa fille Apfelsina toute sa vie auprès de lui, dans son jardin merveilleux. Quand le professeur berlinois Kräutlmayer, sous le prétexte de visiter le jardin, essaie d'approcher Apfelsina, Pomologus se fâche. Casperl, domestique du professeur, mange les pommes d'un arbre malgré l'interdiction expresse d'y toucher : il lui pousse des oreilles d'âne. Kräutlmayer, après sa déconvenue, fait de même - avec le même effet. L'un et l'autre se ridiculisent devant Apfelsina et Pomologus, qui finit par leur indiquer la fontaine magique où ils peuvent se laver pour perdre leurs appendices disgracieux.

Fleurs

Père

Tourisme

Pédant

Jardin

Âne

Merveilleux

Illustration de Pocci pour la page de titre de la pièce dans l'édition de 1875

Professeur

Botaniste

Domestique

Métamorphose

Deus ex machina

Dialecte

Der Zaubergarten

Le Jardin merveilleux

Le poète rencontre Kasperl dans la rue. Il lui propose d'assister à son théâtre de marionnettes, le laissant seul devant le castelet. Le premier personnage à en sortir est Hanswurst, mais il ne parvient pas à amuser Kasperl, qui le tue à coups de bâtons. Puis une allégorie de l'Art entre en scène et lui offre des fruits. Kasperl ne les trouve pas à son goût et renverse la corbeille sur la tête de la malheureuse. Enfin c'est la mort qui vient le chercher, et de même, Kasperl lui fait sauter la tête d'un coup de bâton. Le poète furieux revient pour le tancer, mais Kasperl en a assez et le rosse à mort.

Marionnette à gaine

Non spécifié

Blümel Otto

Poésie

Populaire

Gloutonnerie

Bavière

Saucisse

Beauté

Symbolisme

George, Stefan Anton

Burlesque

Poète

Hanswurst

Mort (La)

Accent régional comique

Parodie du langage soutenu

Dialogue de sourds

Chanson

Théâtre de marionnette dans le théâtre

Métadiscours sur le théâtre de marionnettes

Choeur

Allégorie

Der Dichter

Le Poète

Egaré en forêt, Kasperl trouve refuge chez un ermite, qui veut l'amener à la pénitence. Le Diable plante sur le chemin de Kasperl un radis géant, objet magique qui assure à son possesseur la réalisation de tous ses vœux. Kasperl commande aussitôt au radis six litres de bière, un plat de Leberknödel (quenelle de foie) et de chou, puis un canapé pour cuver son ivresse. Le Diable revient alors pour le perdre, sous la forme d'une prostituée qui veut s'allonger auprès de Kasperl ; mais il la repousse violemment, en criant qu'il est ivre et qu'il a besoin de dormir tranquille. Alors le ciel s'ouvre et des chœurs angéliques chantent ses louanges : Kasperl a triomphé du diable, il reçoit une auréole. Ne sachant qu'en faire, il la laisse à l'ermite, qui, en échange, le raccompagne hors du bois.