Dans une pauvre chaumière, la nuit, une jeune fille et sa mère malade sont couchées. A trois reprises, elles entendent frapper violemment à la porte: la première fois, c'est un homme qui veut apporter un seau et une éponge; la deuxième, un homme avec un linceul; la troisième, un homme avec un cercueil. Chaque fois, la Fille refuse d'ouvrir et donne une fausse explication à sa mère qui se trompe elle-même sur l'identité des visiteurs nocturnes. La Mère meurt au moment où la porte est enfoncée par le porteur du cercueil.

Non spécifié

Van Lerberghe Charles

Belgique

France

Paris

Imprimé

Mort

Maladie

Prière

Cercueil

Menace

Peur

Pauvreté

Ambiance sonore

Cierge

Fantastique

Tragique

Paul Sérusier, Les Flaireurs, programme du Théâtre d'art, Paris, 5 février 1892.

Français

Fille (rapport de filiation)

Mère

Voix

Bruit hors-scène

Reprise en boucle

Voix hors-scène

Ombres projetées

Les Flaireurs

Toulouse-Lautrec reparcourt sa vie marquée par la maladie qui l’a empêché de goûter les plaisirs de la noblesse à laquelle il appartient, dans la demeure familiale d’Albi: les jeux en plein air, la chasse, les fêtes, etc. Le seul passe-temps qui lui faisait oublier sa maladie était la peinture, ce qui l'a décidé à partir pour Paris afin de perfectionner son art. Là, il se réfugie dans les ombres des nuits de la bohème artistique et littéraire, l'alcool, les bordels, les cabarets, les cafés-concerts, les cirques et les quartiers marginaux pour cacher son infirmité.

Théâtre d'ombre

Marionnette à tiges

Adultes

Mas i Usó Pasqual

Espagne

Vila-real

Biographie

Réflexion sur l'art

Analyse introspective

Peintre

Peinture

Souvenir

Vie de bohème

Infirmité

Obscurité

Nuit

Handicap

Mémoire

Marginalité

Cabaret

Dramatique

Pasqual Mas i Uso, Estratègia per a una ciutat d'ombres

Catalan

Henri de Toulouse-Lautrec

Monologue

Métathéâtre

Numéro de cabaret

Jeu sous le masque

Estratègia per a una ciutat d'ombres

Stratégie pour une ville d'ombres

Le protagoniste, Franz, est un jeune savant viennois qui, au cours d'une séance d'hypnose dirigée par Mesmer, apprend que sa cousine Angèlica, dont il est amoureux, court un grand danger. Il décide de partir à son secours et, après de nombreuses aventures, arrive à Budapest pour découvrir qu'elle vient de mourir. Persuadé qu'elle a été hypnotisée par l'alchimiste Adam Le Fay, il conserve son corps dans la glace, la ramène dans son laboratoire et tente par diverses expériences de la ressusciter. Il échoue et est accusé du meurtre de la jeune femme par les troupes napoléoniennes qui viennent d'entrer dans Vienne. Condamné à mort, il est sauvé au dernier moment par Le Fay qui lui explique que si l'un des deux meurt, l'autre disparaît également. Ils se battent en duel, Franz se jette sur l'épée de Le Fay, et tous deux périssent en même temps. On comprend qu'ils ne sont que les deux facettes d'une même personnalité, symbolisant le conflit du rationalisme et de la superstition.

Acteur et marionnette

Automate

Sirera Rodolf

Valence

Rationalisme

Science

Religion

Superstition

Aventure

Alchimie

Symbolisme

Hypnotisme

Spiritisme

Double

Divination

Surnaturel

Amour

Mélodramatique

Philosophique

Rodolf Sirera, Pasqual Alapont, Paco Zarzoso, Umbracles.

Obra per a titelles i actors

Savant

Alchimiste

Vieillard

Docteur

Franz-Anton Mesmer

Homes I Dones Espectadors de la sessió d'hipnotisme

Cocher

Cavalier

Dame

Aubergiste

Servante

Pendu

Voleur de cadavre

Gardien de prison

Prêtre

Voisine

Forain

Libraire

Serviteur

Valet

Charpentier

Soldat

Bourreau

Officier

Narrateur

Numéro de magie

Projections

Effet de surprise

Séance d'hypnose

Personnage masqué

Combat à l'épée

Analepse (Flash-back)

Prolepse (Anticipation)

Imbroglio

La mirada de l'alquimista

Le regard de l'alchimiste

Le jeune Abakar se fait offrir une poupée pour son anniversaire, ce qui crée de la jalousie chez ses autres jouets alors délaissés. Depuis une malle ouverte, les jouets réunis échangent à propos de leurs origines, leurs valeurs monétaires, leurs histoires, et spéculent à propos de celles de la poupée. Parallèlement, on apprend des jouets que le père d'Abakar fait la grève de la faim dans l'espoir d'obtenir "des papiers". La police finit par faire irruption et l'un des jouets se sacrifie en provoquant un incendie, créant ainsi un élan de panique qui permet à la famille de fuir la police.