Une Marchande, amoureuse d'un employé de boutique (le Courtaud), le soupçonne d'être intéressé par sa fille. Une Servante excite la jalousie d'un Laquais. Un Musicien ivre raconte à un Suisse qu'il est trompé par sa femme. Polichinelle tente de séduire une Grisette, rencontre un Peintre qui veut faire son portrait, puis se joint à une Troupe de Buveurs pour danser un divertissement et chanter le vaudeville final.

Marionnette à tringle et à fils

Non spécifié

France

Paris

Imprimé

Amour

Séduction

Infidélité

Ivresse

Cabaret

Valet

Comique

Satirique

Première page du manuscrit de Polichinelle à la guinguette de Vaugirard.

Français

Marchande

Employé de boutique

Servante

Suisse

Musicien

Polichinelle

Grisette

Peintre

Scène d'auberge

Pièce à tiroirs

Accent étranger comique

Intrigue amoureuse

Chanson finale

Divertissement dansé

Conversation

Air chanté

Polichinelle à la guinguette de Vaugirard

Le soir du carnaval du Mardi-Gras, Guignol s'apprête à fermer sa boutique de "regrolleur" (savetier) quand Cadet lui apporte un soulier de femme à réparer sans lui dire à qui il appartient. Niafron, tenancier d'un cabaret, vient se plaindre à Guignol de ses mauvaises affaires. Guignol lui propose un stratagème: mettre en vente les harengs d'un tonneau en annonçant qu'une pièce de vingt francs est cachée dans l'un d'eux. Il offre cinq francs à un passant costumé en Pierrot pour faire la publicité de cette offre. Madelon, fille de Niafron, vient reprendre le soulier déposé par Cadet, mais ni Guignol ni Niafron ne la reconnaissent sous le masque et le domino qu'elle porte pour aller au bal en cachette de son père.
Au cabaret, le tonneau a un énorme succès. Niafron découvre que sa fille est sortie, mais Guignol la lui montre: elle est avec l'homme costumé en Pierrot mais a tellement bu qu'elle est ivre. Guignol donne la pièce de vingt francs au Pierrot pour qu'il fasse semblant de l'avoir trouvée dans un hareng, puis lui propose d'épouser Madelon, ce qu'ils acceptent tous deux.

Marionnette à gaine

Lyon

Soulier

Hasard

Argent

Le Tonneau de harengs, manuscrit soumis à la censure, Archives Nationales (F/18-1216)

Le Tonneau de harengs

Guignol

Cadet

Gnafron

Pierrot

Madelon

Anglais

Provençal

Chanson

Personnage masqué

Personnage déguisé (fausse identité)

Piège

Rivalité amoureuse

Le Marchand de harengs

Le Roi Mirambole, tyrannique, vaniteux et hypocondriaque, veut se marier. Trois courtisans rivaux (le Médecin, l’Astrologue et l’Orfèvre) flattent le Roi, se calomnient les uns les autres et complotent pour inciter le souverain à choisir une épouse de leurs familles. Le Médecin convainc le Roi que seule une comète apposée sur son front pourra le guérir de tous ses maux et, pour causer la perte de l’Astrologue, il suggère au Roi de s’adresser à lui pour accomplir cette tâche. L’Astrologue suggère au Roi de demander à l’Orfèvre d’en fabriquer une, tandis que ce dernier persuade le Roi de confier cette tâche au Médecin et à l’Astrologue. C’est finalement le valet Pierrot qui s’engage à rapporter une comète au Roi le soir même. Pierrot va chez son frère le cabaretier chercher une bouteille de « vin de la comète » et convainc sa nièce Balibutte de le suivre. De retour au palais, il présente sa nièce comme une comète incarnée en femme et soigne le roi avec le vin. Balibutte raconte au Roi un songe exposant les trahisons des courtisans et la façon de les punir. Le roi exécute les courtisans, épouse Balibutte et nomme Pierrot grand vizir.

Tous publics

Duranty Louis Edmond

Courtisans

Ambition

Flatterie

Complot

Tyran

Mariage

Vanité

Aveuglement

Cruauté

Comète

Remède

Maladie

Rêve

Rivalité

Mélancolie

Merveilleux

Astrologue

Médecin

Bourreau

Cabaretier

Héraut

Coup de bâton

Aparté

Bruit hors-scène

Annonce publique

Scène d'exécution

Récit de rêve

Monologue

La Comète du Roi Mirambole

Très assoiffés, Polichinelle et Niflanguille commandent un tonneau de vin au cabaretier Baillenflé, mais refusent de le payer, se battent avec lui, puis s’enfuient. Pour se venger, Baillenflé demande à son frère sorcier d’ensorceler le tonneau, puis l’offre à Polichinelle et Niflanguille en gage d'apaisement. Quand les deux compères l’ouvrent, un crocodile en sort et mord le nez de Polichinelle. Pour se débarrasser de lui, Polichinelle lui propose différents objets, puis pousse Niflanguille vers lui. Le crocodile emporte Niflanguille, Polichinelle referme le tonneau et appelle un gendarme à l’aide. Le gendarme ouvre le tonneau et le crocodile l’emporte à son tour. Polichinelle tue un soldat d’un coup de canon pour nourrir le crocodile. Dès que le reptile quitte le tonneau, Polichinelle y pénètre pour chercher du vin. Le crocodile revient, tente d’attraper Polichinelle, puis se dirige vers sa maison. Inquiet pour sa famille, Polichinelle s’allie au sorcier pour pendre le crocodile. Quand Polichinelle croit enfin pouvoir boire tranquillement, le diable surgit pour l’enfermer dans le tonneau et l’emporter en Enfer.

Soif

Vol (délit)

Ruse

Crocodile

Magie

Canon

Farcesque

Magicien

Sorcier

Gendarme

Soldat

Diable

Comique de répétition

Intervention finale du diable

Personnage écrasé sous un tonneau

Chute comique d’un personnage

Marionnette lancée en l'air

Combat contre un animal

Coup de canon

Course-poursuite

Scène de pendaison

Le Tonneau

Dans le premier acte, « Agamemnon au bain », le Choeur de la Presse, composé de trois journalistes, épie le dialogue de Klytemnestra et d'Aegisth qui se cachent à l'arrivée d'Agamemnon et de Kass Andra. Les mêmes journalistes photographient ceux-ci, ce qui réjouit Kass Andra qui voit le profit que sa carrière de star peut en tirer. Klytemnestra et Aegisth les chassent, Agamemnon reste suspendu à ses fils. Dans le deuxième acte, « L'aube de la démocratie », Electra de l'Armée du Salut vient demander de l'argent à Aegisth qui se réfugie dans les W.-C. à l'arrivée d'Orest. Orest tue Aegisth puis Klytemnestra en lançant deux grenades. Henny Pythia chante pendant l'intermède. Dans le troisième acte, « La classique fuite des devises », Orest tente de s'enfuir en Hollande mais il est arrêté à la frontière par le Choeur de la Presse, changé en Euménides du Fisc, puis par Woodrow Apollon. Orest, rejoint par Henny Pythia, prend le commandement des Euménides du Fisc. Tous partent en chantant vers la Baltique.

Marionnette à fils

Mehring Walter

Allemagne

Berlin

Paparazzi

Journaliste

Fuite des devises

Scatologie

Arme à feu

Cinéma

Gramophone

Bain

Tragédie grecque

Armée du Salut

Individu et histoire

Freikorps

Music-Hall

Grenade

Dadaïsme

Avant-garde

Parodique

Grotesque

John Heartfield tenant en main la marionnette d'un des journalistes (le Monsieur Conservateur).

Allemand

Eine Orestie mit glücklichem Ausgang

Agamemnon

Veilleur

Clytemnestre

Egisthe

Cassandre (fille de Priam)

Électre

Oreste

Pythie

Henny Porten

Apollon

Thomas Woodrow Wilson

Euménides

Voix

Wilhelm II

Voix hors-scène

Choeur

Objet prenant vie

Dialogue au téléphone

Déguisement

Allégorie politique

Einfach klassisch!

Simplement classique!

Invité au congrès mondial des bricoleurs à Chicago, le Docteur Haase bricole une fusée pour s'y rendre. Deux gangsters assistent à l'atterrissage et tentent de voler la fusée, mais Haase parvient à s'enfuir chez Turnip, l'organisateur du congrès... qui n'est en réalité qu'un prétexte inventé pour faire venir le savant allemand. Turnip cherche à corrompre Haase, sa fille Elvyra tente de le séduire, le gangster Bill essaie de le tuer. Grâce à l'aide de la servante noire Ann, Haase parvient à s'enfuir avec la fusée et, par la même occasion, sauve du lynchage le fils d'Ann, Tom.

Jeune public

Hoke Werner

Leipzig

Criminel

Fusée

Capitalisme

Corruption

Science

République démocratique d'Allemagne (RDA)

Amérique

Débauche

Racisme

Première de couverture du recueil Drei Puppenspiele

Satirisches Puppenspiel für große Kinder

Gangster

Policier

Fausse mort

Bagarre

Fuite

Macaronisme

Équivoque grivoise

Die Amerikareise

Le voyage en Amérique

Toulouse-Lautrec reparcourt sa vie marquée par la maladie qui l’a empêché de goûter les plaisirs de la noblesse à laquelle il appartient, dans la demeure familiale d’Albi: les jeux en plein air, la chasse, les fêtes, etc. Le seul passe-temps qui lui faisait oublier sa maladie était la peinture, ce qui l'a décidé à partir pour Paris afin de perfectionner son art. Là, il se réfugie dans les ombres des nuits de la bohème artistique et littéraire, l'alcool, les bordels, les cabarets, les cafés-concerts, les cirques et les quartiers marginaux pour cacher son infirmité.