Kasperl part en Amérique sur une barque, mais il est avalé par une baleine qui le recrache sur une île habitée par des cannibales. Ils le salent et le confisent à la graisse de baleine. Attiré par la graisse, un aigle enlève Kasperl sur le point d'être mangé et le ramène en Europe. Kasperl parvient à s'enfuir et rencontre un cavalier qui le ramène à sa famille. Cette pièce en forme de prologue se termine par une invitation à prendre place devant le castelet pour le début de la représentation.

Théâtre d'ombres

Jeune public

Pocci Franz von

Allemagne

Munich

Imprimé

Bateau

Navigation

Marine

Amérique

Naufrage

Poisson

Léviathan

Terre inconnue

Île

Saucisse

Bière

Soif

Faim

Cannibalisme

Sauvage

Enlèvement

Cheval

Famille

Merveilleux

Comique

Dernière vignette de "Kasperl bei den Menschenfressern"

Allemand

Kasperl

Baleine

Cannibale

Aigle

Cavalier

Frau Kasperl

Enfant

Monologue

Pièce en vers

Choeur

Scène chantée

Macaronisme

Rebondissement

Théâtre de marionnette dans le théâtre

Kasperl bei den Menschenfressern

Kasperl chez les anthropophages

Casperl veut émigrer en Amérique, mais fait naufrage sur les côtes d'une île africaine peuplée d'anthropophages. Il y rencontre le naturaliste allemand Gerstlmaier, qui le prend d'abord pour un perroquet et finit par l'engager comme domestique. Mais les cannibales le capturent pendant son sommeil. Il jure de ne plus boire une seule bière s'il parvient à s'en sortir, sur quoi le dieu Neptune le libère et lui permet de rentrer en Europe, à dos de dauphin. Casperl est ensuite enlevé par un grand oiseau qui le lâche sur la place du marché de sa ville natale, où son arrivée provoque la panique générale. Comme Casperl a juré de ne plus boire une seule bière, il s'en va en boire plusieurs à la taverne pour fêter son retour au pays.

Marionnette à fils

Afrique

Robinson

Sciences naturelles

Ornithologie

Savant

Exotisme

Petite ville

Parodique

Ein culturhistorisches Drama in zwei Aufzügen

Veilleur

Tambour (homme)

Neptune

Crocodile

Dauphin

Air instrumental

Mot pour un autre

Chanson

Animal parlant

Deus ex machina

Calembour

Scène de reconnaissance

Parodie du langage soutenu

Casperl unter den Wilden

Casperl chez les sauvages

Arlequin débarque sur une terre inconnue après un long voyage en bateau. Par prudence, il revêt un manteau de peau d’animal, espérant ainsi tromper les animaux. Un chat sauvage l’aperçoit et s’approche. Arlequin se met alors à imiter son langage et son comportement, allant jusqu’à grimper sur un arbre. Pendant ce temps, Asdrubal et Pied-de-Biche traquent le chat sauvage afin d’apporter sa tête à la cour. En levant les yeux, ils aperçoivent deux silhouettes perchées dans l’arbre. Lorsqu’Arlequin leur adresse la parole, ils croient avoir affaire à un animal parlant. Intrigués, ils le voient descendre de l’arbre. Arlequin révèle alors son identité, captivant l’attention des chasseurs par le récit enjoué de ses aventures. Séduits par son esprit, Asdrubal et Pied-de-Biche décident d’en faire un roi, car un homme dans le royaume des Ogres est une rareté. Affamé, Arlequin réclame un repas. Toute la cour se met alors à réfléchir au dîner qu’on pourrait lui préparer et dans quel pays aller chercher de la chair humaine. Apprenant qu’il est censé se nourrir de viande humaine, Arlequin ordonne à Pierrot d’aller chercher une marmite et un haricot. Mais les Ogres apportent une marmite avec l’intention d’y faire cuire leur nouveau roi - Arlequin. C’est alors que deux parisiens, Scaramouche et Tape-Dur, font leur entrée et reconnaissent Arlequin en le sauvant. Scaramouche déclare que lui et le roi “abonn[ent] les Ogres aux restaurants à trente-deux sous du Palais-Royal” afin qu’ils renoncent définitivement à la chair humaine.

des Essarts Emmanuel

France

Paris

Royaume

Repas

Restaurant

Retour

Alfred des Essarts, illustration pour Le Naufrage d'Arlequin, 1863.

Français

Arlequin

Chambellan

Chasseur

Pierrot

Cuisinier

Marmiton

Jeune fille

Ogre

Ogresse

Aparté

Personnage déguisé (fausse identité)

Bruit hors-scène

Coup de couteau

Le Naufrage d’Arlequin

Kasperl est couvert de dettes et s'enfuit de la ville. Il croit qu'il n’a pas d'autre solution que de se tuer. Mais lorsque le Diable arrive et le pousse à se pendre, Kasperl se rend compte que son heure n'a pas encore sonné. À l’instant même, on entend des coups de feu. Le chasseur Hasenmajer, pensant tirer sur un bouc, a failli tuer Kasperl. Pour se faire pardonner, il invite sa "victime" à l'auberge pour boire un verre.
Spitzer, le maître d'école, arrive à l'auberge avec une terrible nouvelle : un turco s'est échappé du convoi de prisonniers. L'aubergiste Krüglhuber ne veut pas le croire, mais la serveuse Kathi confirme que le turco a été vu en train de dévorer un petit enfant. Krüglhuber est terrifié et demande à ce qu’on ferme toutes les portes. Le chasseur arrive en annonçant qu'il a capturé le turco et qu’il veut sa récompense, 400 gulden. L'aubergiste accepte, mais veut d'abord voir le prisonnier. Hasenmajer lui présente Kasperl déguisé en turco et enfermé dans une cage. Krüglhuber est heureux : il peut annoncer qu’il y a une nouvelle attraction dans son auberge. Mais Kasperl sort de la cage et enferme l'aubergiste. Celui-ci comprend que le « turco » n'est autre que son débiteur. Kasperl lui propose un marché : soit l’aubergiste accepte d'effacer ses dettes en échange de la liberté, soit il devra le remplacer comme « turco ». Krüglhuber n'a d'autre choix que d’accepter son offre.

Non spécifié

Dette

Diable

Chasse

Cage

Auberge

Tirailleurs algériens

Racisme

Grotesque

Franz von Pocci, Neues Kasperl-Theater, 1873.

oder Ein Kasperlstreich aus dem Jahre 1870

Aubergiste

Serveuse

Maître d'école

Apparition du Diable

Retournement de situation

Coup de théâtre

Der gefangene Turko

Le turco prisonnier

Expulsé de son logement par le propriétaire, Casperl se met à la recherche d'un emploi. Il en trouve auprès du professeur et explorateur Gerstenzucker, comme... singe ! Celui du professeur, Schimpanse, vient en effet de mourir, alors qu'il cherchait à lui inculquer la culture humaine pour montrer la parenté de l'homme et du singe. Mais Casperl se comporte bien mal : se faisant passer pour Gerstenzucker, il traite une de ses visiteuses avec une extrême grossièreté, puis se bagarre avec le professeur, met la taverne sens dessus-dessous et sème la panique dans la ville. Tous finissent au poste, où le faux singe est démasqué. Quand on veut le jeter en prison, Casperl assomme tout le monde et conclut la pièce en allant boire pour fêter la victoire finale du darwinisme.