Gianguir, qui s’est rebellé contre son père, a été déshérité de son trône au profit de son fils Cosrovio. Il a épousé Zama, femme d’humble naissance, qui le persuade de donner sa fille Miraca en mariage à Cosrovio. Son frère Asaf est favori du sultan. Cosrovio refuse ce mariage car il aime Alinda (la princesse Semira, ennemie jurée de Gianguir), qui le persuade de récupérer le trône légué par son grand-père en prenant les armes contre son père. Son ami Mahobet, capitaine des gardes, tente de le rappeler à son devoir. Cosrovio et Asaf s’affrontent sous les yeux de Gianguir; pour se venger de l'humiliation, Asaf annonce à Semira que Cosrovio épousera Miraca: de jalousie, elle lui promet son amour. 
Cosrovio, sommé d’épouser Miraca ou de se rendre à la mort, prend les armes: Gianguir apprend sa trahison et réclame la tête de Mahobet pour avoir aidé son fils. Pour se sauver, Mahobet prend Gianguir en otage: il est accusé de haute trahison et Gianguir le prive de son grade, alors même qu’Agra est en péril. L'armée est confiée à Asaf. Semira, sous le nom d’Alinda, feint de coopérer, se promet à Asaf et dénonce les ennemis du royaume pour obtenir sa liberté.
Gianguir annonce à Cosrovio qu’Alinda brûle pour un autre: Cosrovio se croit trahi, mais Alinda, sitôt libre, révèle que Semira ne remplira pas les promesses faites sous le nom d’Alinda et qu'elle est l’épouse de Cosrovio. Les deux amants se retrouvent, et Semira envoie son futur époux au combat. Asaf est vaincu: tout semble perdu pour le roi, quand Gianguir arrive, libéré par Mahobet. Zama tente de le convaincre de pardonner à son fils; Mahobet annonce qu’une révolte se prépare s’il le tue. In extremis, Gianguir fait preuve de magnanimité: père et fils sont surpris par Semira alors qu'ils se réconcilient. Semira réclame la mort en même temps que son époux: Gianguir leur accorde la vie sur les conseils de Zama, qu’il proclame seule sultane et qui les donne l’un à l’autre. Le chœur célèbre ce beau jour.

Marionnette à fils

Non spécifié

Zeno Apostolo

Italie

Venise

Imprimé

Succession

Rébellion

Mariage forcé

Favori

Tyran

Héroïque

Mélodramatique

Épique

Gianguir, 1748 (page de titre)

Italien

Empereur

Prince

Princesse

Épouse

Frère

Capitaine

Confident

Musique

Choeur

Pièce en vers

Intrigue amoureuse

Annonce publique

Foule

Scène de duel

Rivalité amoureuse

Défilé

Combat hors-scène

Personnage déguisé (fausse identité)

Combat

Scène d'arrestation

Révélation

Mariage final

Gianguir

Le roi de Bohême Wenzel (Venceslas IV) souhaite se débarrasser de son épouse Sophie, afin de pouvoir se remarier avec la princesse sorabe (ou serbe) Ahalibama, que son général Zytho a faite prisonnière. Zytho calomnie la reine auprès de Wenzel, prétendant qu'elle l'a trompé avec le cuisinier à la cour Guido. Wenzel cherche à faire parler le confesseur de Sophie, Jean Népomucène, mais celui-ci refuse de trahir le secret de confession. Zytho maquille alors une lettre de Guido à la reine et le compromet définitivement auprès du roi. Guido est exécuté, Sophie empoisonnée dans son cachot. Ahalibama refuse néanmoins les avances du roi. Jean Népomucène est exécuté à son tour et jeté dans la rivière : sept étoiles s'élèvent au-dessus des eaux. La mort de la reine et le martyre de Jean provoquent un soulèvement du peuple de Prague et le roi doit se démettre, non sans avoir tué Zytho de ses propres mains. Un dernier tableau montre l'apothéose de Saint Jean Népomucène sur son lit de mort.

Allemagne

Heilbrunn bei Tölz

Bohême (République tchèque)

Saint

Martyre

Apothéose

Catholicisme

Poison

Intrigue

Politique

Cour royale

Courtisans

Révolte

Orient

Slaves

Prague

Religion

Christianisme

Cruauté

Infidélité

Assassinat

Tragique

Dramatique

Merveilleux

Religieux

Allemand

König Wenzel der Strenge

Jean Népomucène

Kasperl

Officier

Génie

Geôlier

Bourreau

Soldat

Lettre

Personnage caché

Monologue

Meurtre en scène

Gloire

Langue régionale comme marqueur social

Johann von Nepomuk, der Verschwiegene

Jean Népomucène, le Mutique

La pièce est une succession de saynètes. Putschenelle se bat avec un aveugle qui l'a heurté de son bâton, jette son enfant par la fenêtre, assomme sa femme. Puis on le voit caresser son chien Phylax. La scène suivante représente la danse de deux maures, dans laquelle Putschenelle finit par entrer : il assomme les deux danseurs. Il monte à cheval, son cheval le désarçonne, le docteur survient, ils se battent à coups de bâton. Un officier le recrute pour devenir soldat, mais Putschenelle se montre trop indiscipliné et, quand il en a assez, poursuit l'officier à coups de bâton. Il est enfin arrêté et condamné à mort, mais il pend lui-même le bourreau avec un juron. Le diable survient, ils se battent, Putschenelle le tue.

Marionnette à gaine

Hambourg

Résumé imprimé

Bâton

Animal

Cheval

Nourrisson

Père

Ménage

Couple

Meurtre

Meurtre en série

Armée

Militaire

Discipline

Insubordination

Justice

Potence

Farcesque

Illustration de George Cruikshank pour Punch and Judy, reproduite dans l'édition de 1890 (Londres, George Bell &amp; Sons)

Leben und Taten Putschenelle, der sogar den Teufel aus der Welt geschafft

Aveugle

Frau Putschenelle

Enfant

Chien

Noir

Docteur

Sbire

Diable

Adresse au public

Intervention du public

Chanson

Personnage aveugle

Scène de ménage

Coup de bâton

Dialecte

Scène de pendaison

Intervention finale du diable

Danse

Putschenelle ist tot, vivat Putschenelle!

Putschenelle est mort, vive Putschenelle !

Casper va à la fabrique de magie pour y apprendre des tours de magie. Le magicien lui en montre quelques-uns, mais Casper se montre si trivial qu'il ne sait bientôt plus quoi dire : sur quoi Casper le traite d'âne. Il se battent, l'un avec son bâton et l'autre avec son balai. Casper met en déroute le magicien. Un policier vient pour l'arrêter, mais Casper l'assomme et le pend à la potence. Sa femme lui en fait le reproche, ils se disputent et se battent.

Jeune public

Sonneberg

Magie

Bêtise

Trivialité

Vulgarité

Violence

Police

Balai

Ironique

Première de couverture du fascicule Caspertheater Nr. 6

Magicien

Policier

Calembour

Mot pour un autre

Équivoque comique

Stichomythies

Passages versifiés

Bagarre

Casper will Zauberer werden

Casper veut devenir magicien

Le marionnettiste présente ses excuses au public parce qu’il n’est pas prêt à présenter Macbeth comme prévu : à la place, il donnera une comédie pour marionnettes inédite de Goldoni, L’émigrant jaloux (en fait, un faux inédit imaginé par Brunello). Mais une de ses marionnettes à gaine, Arlequin, n’est pas d’accord, organise une rébellion et convainc les autres marionnettes de jouer Macbeth. La tragédie commence, mais Arlequin, qui a osé sortir de son rôle, doit mourir comme Macbeth. Il en va de même pour son antagoniste le roi Duncan qui, on le découvre à la fin, n’est autre que le marionnettiste lui-même.

Main nue

Acteur et marionnette

Adultes

Brunello Gigio

Molnár Gyula (dit Giulio Molnár)

Mogliano Veneto

Conscience d'être une marionnette

Réécriture

Adaptation

Faux inédit

Shakespeare

Rodolfo

Colombina

Brighella

Lady Macbeth

Arlequin

Macbeth

Pantalone

Macduff

Balanzone

Générique

Sorcière

Messager

Gardien

Sicaire

Singe

Accent régional comique

Théâtre dans le théâtre

Personnages doubles

Répétition (théâtre dans le théâtre)

Apparition du manipulateur

Effet de surprise

Captatio benevolentiae

Ironie tragique

Conflit tragique

Parodie du langage soutenu

Changement de décor à vue

Macbeth all'improvviso

Macbeth improvisé

Mauche et Moite, les deux mains de Lhom, s’ennuient et en ont assez de leur condition. Un soir, elles décident de s’enfuir. Mais c'est sans compter avec la tyrannie de Lhom qui, malgré sa fainéantise, tente de les retrouver par tous les moyens.